Bientôt Noël
Comment passer à côté ? Impossible de ne pas être courant : Noël est dans un mois !
Pour certains Noël est associé à la magie, le partage, la joie, les retrouvailles et pour d’autres, cette période s’associe à stress, solitude, tristesse. Dans quelle catégorie vous situez-vous ? Si vous êtes dans la première, que vous êtes guidé par la joie, je vous souhaite de savourer pleinement cette période ! Pour les autres, prenons le temps de voir ce qui ne vibre pas pour vous à cette période.
Votre stress est-il dû à l’organisation de l’évènement ? Si oui, voici quelques astuces :
-en panne d’idées cadeaux, demandez aux personnes concernées ce qui leur ferait plaisir. Regroupez-vous à plusieurs pour augmenter votre budget et offrir un cadeau utile. Si les personnes n’ont pas d’idées, demandez-leur ce qui leur manque dans leur vie, ce qu’elles aiment faire, leur couleur préférée ou détestée, leurs goûts culinaires, littéraires, olfactifs etc. A partir de là, soyez créatif et spontané, écoutez votre cœur et laissez -vous guider vers le cadeau « coup de cœur ».
-pas d’inspiration pour le repas, surfez sur le net ou achetez un magazine en kiosque. A cette période de l’année vous aurez l’embarras du choix tant sur la thématique que les ingrédients et le budget.
-pas le temps : faites un planning en mode calendrier de l’avent des préparatifs. Planifiez en amont le jour où vous achetez vos cadeaux, faites vos courses, préparez votre repas. En effet certains plats peuvent se concocter à l’avance et patienter dans votre congélateur. Avec un peu d’organisation vous pourrez fluidifier vos préparatifs.
-déléguez ! demandez à votre entourage si quelqu’un peut se charger de créer la déco, faire les courses, chercher des recettes. N’hésitez pas à solliciter vos enfants ils seront ravis de mettre la main à la pâte et d’être responsable d’un élément de votre to do list.
Votre stress est-il dû au fait de vous retrouver en famille ? Si oui, un thérapeute peut vous aider à mieux comprendre ce qui vous dérange et vous accompagner pour trouver une solution vous permettant de vivre ces retrouvailles de manière sereine. Plusieurs options s’offrent à vous : y aller comme tous les ans, proposer de ne venir qu’au dessert, aller voir un spectacle en famille pour détendre l’atmosphère et créer un sujet de conversation pour l’après spectacle, ne pas y aller. Parce que chaque situation familiale est unique, vous pouvez envisager d’autres solutions. Chaque problème a une solution dont vous détenez la clé, à vous d’oser vous en servir.
Vous vous sentez seul à cette période ? Parfois un rythme effréné de travail nous empêche d’entretenir nos relations sociales nous plongeant dans une grande solitude au moment des fêtes de fin d’année. Apprenez à dire NON, à écoutez vos envies et vos besoins. Votre travail vaut-il la peine que vous mettiez votre vie entre parenthèse ? Revoyez votre rythme de travail, qu’est-ce qui vous parasite ? votre temps de trajet ? la consultation de vos mails et autres réseaux sociaux ? les réunions trop fréquentes et peu constructives ? Ou finalement, est-ce que ce rythme acharné ne serait pas la conséquence de votre peur de rentrer chez vous ? de vivre une déception sentimentale, amicale, familiale ? Si vous souhaitez en savoir plus et vous libérer de la solitude, un thérapeute peut vous accompagner dans ce sens.
Autre possibilité, cette période de l’année est synonyme de tristesse pour vous, savez-vous pourquoi ? Est-ce qu’elle vous rappelle des évènements douloureux qui se sont déroulés à ce moment-là ? Vous manque-t-il un proche ? est-il décédé ? malade ? éloigné ? Vous vivez actuellement une situation familiale, sentimentale, ou économique qui ne vous permet pas d’être dans la joie pour les fêtes de fin d’année ? Un thérapeute pourra vous accompagner pour cicatriser un souvenir douloureux, voir la situation sous un angle différent pour vous permettre de vivre cette période de manière festive. A tout problème il existe une solution. Une personne extérieure à votre quotidien sera à même de vous apporter un regard nouveau pour élargir votre champ de possibilités et vous permettre de vivre le mois de décembre avec sérénité.
Autre option, qui fonctionne dans de multiples situations : la spontanéité ! En écoutant votre cœur, vous ferez les choses à votre rythme ainsi ce qui devait être fait sera fait et ce qui ne devait pas l’être ne le sera pas sans que vous ayez eu besoin de lutter en amont pour tout faire ni savoir quoi choisir. La spontanéité est source de créativité. En lâchant vos peurs de mal faire, de ne pas savoir ou autres états d’âme, vous allez ouvrir votre horizon, votre champ de possible et y découvrir des solutions souvent bien plus simples que prévu. Alors mettez votre mental de côté et laissez-vous guider par votre cœur !
Et vous que souhaitez-vous pour Noël ? Quel cadeau qui n’a pas de prix, sous-entendu qui ne s’achète pas souhaiteriez-vous recevoir ? Du temps pour vous ? Une balade en famille, une soirée entre amis ? Un câlin ? Des encouragements ? Exprimez-vous !
Comment rester jeune?!
Nous sommes assénés de tout côté de discours sur la jeunesse éternelle ; avoir un regard jeune, une peau de bébé, un corps de jeune fille, ressembler à Apollon.
Pour y arriver, la solution miracle nous est bien souvent vendu sous la forme de gélules ou autre poudre de perlimpinpin !
Est-ce vraiment la solution ?
Notre apparente jeunesse nous permettra-t-elle d’être en bonne santé, d’être heureux ?
La jeunesse c’est quoi ?
C’est dans le corps, c’est dans la tête ?
Ça ressemble à quoi ?
La première chose c’est peut-être de ne pas se prendre la tête, être spontané, lâcher le mental qui répond à notre égo lui-même construit à partir des injonctions sociétales. Je vous propose de passer à la spontanéité parce que nous sommes les créateurs de nos vies, notre pouvoir ne s’est pas glissé dans une gélule, il est en nous ! A partir de là, plusieurs solutions s’offrent à nous:
-la relaxation, la méditation pour permettre à nos cellules de se régénérer, de s’oxygéner, de goûter à la joie
-le sommeil en dormant suffisamment chaque nuit quitte à faire une sieste de 15mn à la pause déjeuner si besoin.Un corps moins fatigué c’est un corps moins usé
-pratiquer une activité physique plusieurs fois par semaine pour tonifier le corps et le cœur, et éviter que les articulations ne « rouillent »
-être dans l’émerveillement au quotidien pour être dans la joie
-être créatif pour ne pas s’installer dans une routine ankylosante et s’ouvrir à la joie
-tout cela nous amène à vivre en conscience de qui nous sommes, nos envies (et non celles que les autres nous attribue), nos besoins (et non ceux des autres), nos attentes (par rapport à nous-même et non par rapport à la case dans laquelle les autres nous voient). Vivre en conscience permet de connaître son corps, d’en prendre soin, de détecter ce qui ne va pas avant que ça ne prenne trop d’ampleur, d’être dans la joie, de se libérer des croyances familiales etc. Être bien avec soi-même nous permet d’être bien avec les autres.
Je vous partage un extrait du livre « Parle-nous de l’amour » Le prophète de Khalil Gibran commenté par Osho :
"Un grand empereur avait l'habitude de faire tous les jours le tour de la ville. Il le faisait à cheval de bon matin, au Soleil levant. Pour lui, c'était un très bon exercice, mais il pouvait voir également comment la cité croissait, comment sa capitale embellissait de jour en jour.
Son rêve était d'en faire la plus belle place du monde. Mais à chaque fois, il restait étonné : il arrêtait toujours son cheval pour examiner un vieil homme qui devait bien avoir l'âge de cent vingt ans. Il était toujours en train de travailler dans son jardin, à semer et à arroser des arbres, des arbres qui mettraient des siècles à atteindre leur jeunesse, des arbres qui pourraient avoir quatre mille ans. L'empereur s'étonnait de ce que faisait cet homme, déjà à moitié dans sa tombe : pour qui donc semait-il ces semences ? Ce vieil homme ne verrait jamais les fleurs ni les fruits de ces arbres. Il était inconcevable qu'il ne voie jamais le fruit de son labeur.
Un jour, l'empereur ne put résister à la tentation : il descendit de son cheval et demanda au vieil homme :
« Je suis passé ici chaque jour, et la même question m'est à chaque fois venue à l’esprit. A présent, je ne peux m’empêcher de vous déranger dans votre travail, juste pour un moment. J'aimerais savoir pour qui vous plantez ces semences ? Ces arbres atteindront leur taille, bien qu'encore jeunes, longtemps après votre départ. »
Le vieil homme regarda l'empereur et se mit à rire. Il dit :
« Si mes ancêtres avaient raisonné ainsi, je n’aurais pas pu avoir des fleurs et des fruits et ce beau jardin. Nous sommes des jardiniers depuis des générations ; mon père et ses aïeux plantèrent des semences, et moi, j'en ai mangé les fruits. Qu'en sera-t-il de mes
enfants ? Et mes petits-enfants ? S'ils avaient été du même avis que vous, il n’y aurait pas eu de jardin. Il y a des gens qui viennent de très loin pour voir cet endroit, parce que j'ai des arbres millénaires. Moi je fais simplement ce que je peux par gratitude.
De plus, en ce qui concerne l'ensemencement, quand vient le printemps, voir des feuilles vertes qui en sortent est une telle joie que j'en oublie complètement mon âge. Je me sens toujours aussi jeune. Je suis resté jeune parce que j'ai continué à être créatif. La mort n'emporte que les gens qui ont cessé d'être créatifs ; peut-être est-ce la raison pour laquelle je vis aussi longtemps, et je me sens toujours jeune. La mort éprouve de la compassion envers moi parce que je garde le rythme de l'existence. Je manquerai à l'existence, car l'existence n'est capable de remplacer quiconque. C'est peut-être pour cela que je suis toujours en vie. Mais vous, vous êtes jeune, et vous posez des questions comme un moribond. C'est parce que vous n'êtes pas créatif. »
La seule façon d'aimer la vie est d'en créer plus, de rendre la vie plus belle, plus fructueuse, plus juteuse. Ne quittez pas cette Terre à moins que vous ne l'ayez rendue un peu meilleure que lorsque vous l'avez trouvée à votre naissance."
Si vous voulez aller plus loin sur l’exploration de la joie, je vous recommande le livre « Les chemins de la joie » d’Isabelle Filliozat.
L'engagement
Avez-vous remarqué comme ce terme est très présent dans nos vies :
Nous nous engageons en amitié, en couple, auprès de nos enfants, dans un contrat de travail, lorsque l’on souscrit à une assurance etc. Mais avons-nous vraiment conscience de ce que cela implique ?
Lorsque l’on s’engage, on se met en gage, nous mettons un bout de nous-même, voir notre être entier à la disposition de la situation dans laquelle nous nous sommes engagés. Que se passe-t-il lorsque nous nous désengageons, récupérons-nous cette part de nous-même ?
Lorsque l’on s’engage nous insinuons « Ok je serai là », « Tu peux compter sur moi », « vous pouvez me faire confiance, je tiendrai ma promesse ». La personne en face construit sa vie, prend ses décisions en fonction de cet engagement de notre part et sur lequel elle peut s’appuyer. Lorsque nous annulons notre engagement, même si nous y mettons les formes, même si nous avons de supers bonnes raisons et que l’autre les comprend ce n’est pas pour autant que ça n’a pas d’incidence sur lui. Si votre nounou vous dit la veille qu’elle ne peut pas garder votre enfant parce qu’elle a une urgence, bien sûr vous comprenez mais en attendant vous devez palier et trouver une solution de garde au pied levé dans le cas contraire vous informez votre employeur que vous êtes dans l’impossibilité de venir travailler et c’est lui qui se retrouve à gérer votre désengagement etc. Finalement, notre désengagement peut par effet papillon avoir de multiples conséquences.
Alors que faire ? Rester engagé coûte que coûte ? Rester dans un couple qui ne nous convient plus mais pour lequel nous nous sommes engagés et parce qu’il y a les enfants ?
La réponse n’est pas catégorique, ce n’est ni Oui ni Non, je dirai que c’est la réponse de votre cœur qu’il vous faut écouter. Pourquoi ne pas écouter sa tête ??? Tout simplement parce que notre tête est guidée par notre égo qui fonctionne en lien direct avec nos émotions de peur, frustration, colère. Je vois au cabinet des couples qui veulent se séparer parce qu’ils sont sous le coup de la colère. Ils n’entendent que leur colère qui gronde et ne sont plus à l’écoute de leur cœur. Petit à petit une fois que la colère a été écoutée et déposée, il est à nouveau possible d’écouter son cœur. Et là, soit le couple décide de continuer l’aventure ensemble soit de rompre sereinement (au lieu d’une rupture dans la colère comme initialement prévu).
En prenant le temps d’écouter son cœur, nous pouvons savoir si notre décision est juste pour nous ou si elle est une réaction disproportionnée aux conséquences défavorables. Parfois nous annulons un rdv parce que nous avons peur de ce rdv. Finalement notre problème est-il résolu ? Notre peur nous a-t-elle apporté une solution ? Bien souvent ce n’est pas le cas. Au contraire, nous continuons de tourner en rond, de nous enliser, de nous épuiser pendant que notre problème grossit.
Prenez le temps de respirer par exemple en faisant la cohérence cardiaque, une fois le calme revenu en vous. Interrogez-vous sur cet engagement que vous souhaitez rompre. Comment vous sentez-vous ? Quelles sont les sensations dans votre cœur, votre ventre, votre gorge, votre tête ? Si tout est fluide c’est que vous êtes en harmonie avec votre décision, dans le cas contraire c’est qu’il y a quelque chose de pas juste dans votre choix, peut être envisager une étape intermédiaire.
Nous désengager de manière juste, en conscience, évite que nous laissions des petits bouts de nous, des petits bouts de notre âme dans cet engagement.
Également, lorsque vous vous engagez, faites-le en conscience. Parfois nous acceptons de faire des heures supplémentaires simplement parce que cela nous permet de ne pas rentrer chez nous et nous retrouver seul ou dans une ambiance anxiogène. Finalement, cet engagement à faire plus d’heures est-il juste ? A un moment donné il faudra rentrer, nous ne faisons que repousser le problème et en plus nous rentrons fatigué de notre journée (potentiellement plus irritable) et nous avons moins de temps pour vaquer à une occupation qui nous épanouirait et contribuerait à ce que nous trouvions une solution à notre volonté de fuir de notre chez-nous
Vivre en conscience nous permet d’écouter notre intuition, d’être plus juste avec nous même et notre entourage, de répondre à nos besoins, d’être dans la joie !
Le premier engagement que je vous invite à prendre, c'est celui envers vous même. Engagez-vous à vous respecter, vous écouter, répondre à vos besoins pour vivre votre vie dans la Joie!
Fête des pères, fête des mères
Fête des mères/ pères: Fête commerciale, élan du coeur ou contrainte
Rappelez-vous, en décembre, nous avions vu comment certaines fêtes peuvent rapidement devenir des contraintes. Il semblerait que les semaines à venir soient un écho à Noël. Comment sont ces deux prochains évènements pour vous?
Au départ, il s'agit d'une sympathique fête, montrer à son papa et à sa maman qu'on les aime, remarquer le rôle qu'ils ont dans nos vies et celui que nous jouons dans la leur. Est-ce que vous vous souvenez comme vous étiez heureux enfant d'offrir vos créations à vos parents? Et rappelez-vous la joie que vous avez eu en recevant votre premier collier de nouille ou cadre photo dans une boîte camembert. Ah quel moment magique!
Mais comme dans tout conte de fée, il arrive qu'il y ait un MAIS.
Mais mon enfant n'est plus là.
Mais mon parent est décédé.
Mais mon parent est toxique pour moi.
Mais depuis son remariage je n'ai que peu de contact avec mon parent.
Mais je ne sais pas comment faire pour lui montrer que je l'aime.
Mais mon parent ne s'est jamais occupé de moi alors comment lui donner une place dans ma vie et l'aimer.
Mais je n'ai pas assez d'argent pour aller le voir, lui faire un cadeau.
Et sûrement pleins d'autres Mais qui appartiennent à votre histoire et qui font que cette fête sonne faux pour vous.
Alors fête d'amour ou de désamour?
Dans un premier temps, reliez-vous à votre coeur. Lorsque vous pensez à votre parent, que ressentez-vous? De l'amour? Une montée d'angoisse? Le coeur qui se serre, la gorge qui s'enroue, le ventre barbouillé? Une nostalgie?
Si vous êtes traversé par des sensations positives, écoutez votre coeur. Comment transmettre ce que vous ressentez à votre parent?
En lui écrivant un texte, un poème.
En lui proposant de l'aider: faire ses courses, lui cuisiner un bon repas, faire son ménage, s'occuper de son jardin.
En l'invitant à passer un moment privilégié avec vous: balade en forêt, spectacle et pourquoi pas participer avec lui à l'Atelier reconnexion à soi et à ce qui nous entoure que j'organise le 2/06?!
En lui faisant découvrir l'une de vos activités: yoga, peinture, vélo...
Soyez créatif, écoutez votre coeur, vous n'êtes pas obligé de lui offrir le énième cadre photo en forme de coeur.
Par contre, si des sensations négatives ont pris place en vous. Prenez le temps de les écouter. Est-ce que vous vous mettez la pression par rapport à cet évènement? Avez-vous peur de mal faire? Votre parent est-il "toxique" pour vous? Comme l'explique si bien Agnès Miller dans son livre "Notre corps ne ment jamais", nous n'avons pas à nous forcer à voir nos parents. Le commandement "Tu honoreras tes parents" a fait beaucoup de mal aux enfants de notre société. Comment obliger un enfant qui a subi des violences de la part de ses parents, à les aimer? Adulte, nous pouvons prendre soin de nous et de l'enfant en nous, nous pouvons nous protéger de ce parent qui nous éteind à chacune de nos rencontres.
Pour cette démarche, je vous conseille de vous faire accompagner par un thérapeute ou psychologue pour traverser en sécurité chacune des étapes de votre reconstruction. La solution n'est pas nécessairement la rupture, c'est votre reconstruction qui vous guidera vers ce qui est juste pour vous.
Pardon
Au cabinet, très souvent j’entends « il ne me pardonnera jamais », « je ne pourrai jamais pardonner ça, c’est impardonnable ». Ce que j’observe c’est que ces affirmations font naître beaucoup de colère et entretiennent les blessures. En général, ce qui pousse à de telles affirmations c’est la peur de la répétition, la peur de l’humiliation. Nous a-t-on appris à pardonner ?
Je me rappelle lorsque j’étais enfant, on me demandait de dire pardon et de faire un bisou ou de recevoir un bisou de la part de celui qui m’avait blessé. Je ne sais pas comment c’était pour vous mais pour moi c’était violent ! D’abord parce que je n’avais pas envie de recevoir un baisé forcé d’une personne qui m’avait blessée et ensuite parce que je me sentais incomprise dans une situation comme dans l’autre.
Lorsque l’on prend le temps d’observer ce qui se joue, on découvre plusieurs blessures. Tout d’abord la personne qui a blessé, celle que nous avons tendance à appeler le « boureau ». Cette personne n’avait peut-être pas comme intention de nous blesser en disant ou faisant ce qu’elle a fait. Bien souvent ce sont des propos qui viennent réveiller une blessure déjà présente en nous et ça le « bourreau » ne le savait pas en agissant ainsi. C’est pourquoi cet autre n’a pas comme réflexe premier de s’excuser. Pour lui s’excuser reviendrait à admettre qu’il a volontairement fait quelque chose de mal. En fait dans le cas présent, s’excuser, demander pardon n’a rien à voir avec notre supposée culpabilité mais plutôt avec notre capacité à reconnaître la blessure de l’autre. Alors, simplement lui dire « je suis désolé, je ne voulais pas te blesser » peut apaiser les tensions. Un exemple tout simple, lorsque vous dites à votre enfant « laisse, je vais le faire, ça ira plus vite ! ». Votre enfant vous a-t-il demandé de l’aide ? Si ce n’est pas le cas, il peut se dire « décidément, je suis vraiment nul, je ne sais pas faire aussi bien, … c’est comme à l’école aujourd’hui lorsque la maîtresse s’impatientait parce que je n’arrivais pas à donner la réponse, je n’y arriverai jamais ». Voilà une blessure qui vient s’ajouter à une autre existante jusqu’à ce que votre enfant explose en pleurs. En discutant avec lui vous découvrirez le pourquoi du comment de cette explosion et vous pourrez lui dire « je suis désolé, je ne voulais pas te blesser, je me suis dit que j’irai plus vite que toi comme je suis un adulte, la prochaine fois je m’y prendrai différemment ».
Un autre exemple, avec mes enfants cette fois-ci. L’autre jour ma fille dit à son frère « non toi t’auras pas de pancakes, t’as déjà eu un goûter chez ton copain ». Bien sûr mon fils n’était pas content, avant qu’il ne bondisse, j’explique à sa sœur que son frère à le droit aux pancakes parce qu’il a faim et qu’il n’a pas pris de goûter, il a simplement mangé des pancakes à 14h chez son copain. Mon fils part « bouder » sur le canapé pour apaiser sa colère. Je demande à ma fille d’aller s’excuser auprès de son frère. Elle refuse, pour elle ce n’est pas juste, elle n’a pas à s’excuser c’est son frère qui a mal communiqué en disant qu’il avait déjà mangé des pancakes pour le goûter chez son copain. Ah pas simple… Je rappelle à ma fille que son frère a tout juste 7 ans et qu’il peut lui arriver de faire des erreurs et surtout ce n’est pas à elle de décider si son frère peut manger ou non. Finalement, elle a été le voir en s’excusant de l’avoir blessé, qu’elle avait réagi en fonction de ce qu’il avait dit. Résultat, tout le monde s’est régalé de pancakes!
Il y a aussi les cas ou l’autre nous fait volontairement mal. Pourquoi agit-il ainsi, qu’est-ce qui le pousse à agir comme ça ? Cette situation, je la rencontre souvent pendant les séances de thérapie de couple. « Il m’a fait mal alors je lui fais mal aussi, je ne vois pas pourquoi je devrai m’excuser ». Tout simplement parce qu’en entretenant de la colère, on crée plus de blessures en soi et sur l’autre. C’est une escalade sans fin qui ne permet pas la construction d’une relation sereine. Et surtout, ce n’est pas parce que l’autre a laissé la fenêtre ouverte que je dois ouvrir toutes les fenêtres au risque de créer une tempête intérieure ! Et où est le rapport entre l’autre m’a trompé alors moi je lui ai rayé sa voiture ? (je fais dans le cliché pour que ce soit parlant). Pour être constructif, il faut comprendre pourquoi l’autre nous a trompé, pourquoi notre couple en est arrivé là, je sais que c’est difficile à entendre mais dans ce cas de figure, la responsabilité est à 50/50.
Parlons maintenant de la « victime ». Lorsque vous êtes blessé, que se passe-t-il en vous, quelle émotion, quelle sensation est présente en vous ? De quoi avez-vous besoin ?
Souvent on a besoin d’une réparation de 2 types :
-que l’autre reconnaisse notre blessure et qu’il s’excuse de nous avoir blessé
-se pardonner soi même de s’être mis dans cette situation. C’est cet acte là qui est souvent le moins simple. Il implique de prendre le temps d’écouter ce qui ne va pas en soi, de savoir ce que l’on attend, ce que l’on peut faire et d’agir pour soi !
Quant à pardonner l’autre, ça ne veut pas dire que l’on accepte tout, que l’on efface l’ardoise et que l’autre peut recommencer à sa guise. Ça veut dire que l’on reconnaît que l’autre n’a pas voulu nous faire de mal, que l’autre est en proie avec ses tourments et qu’il ne peut pas faire autrement. Et là on peut dire « je te pardonne pour ce que tu m’as fait, je me pardonne d’avoir laissé faire, je sais que l’autre est toxique pour moi, je prends mes distances ». L’autre n’est pas nécessairement un être toxique mais notre relation amène une toxicité entre nous. Soit nous pouvons gérer cette toxicité soit nous avons déjà tout tenté pour la gérer mais comme nous ne pouvons pas tout maîtriser, si l’autre reste dans sa position et n’évolue pas il est préférable de prendre ses distances pour ne pas se faire vampiriser son énergie. Energétiquement on enlève la sphère noire de colère, doute, frustration, tristesse pour laisser place à la lumière et l’amour.
Alors oui on peut pardonner l’autre, on peut se pardonner. C’est un cheminement qui vient toucher des émotions, des blessures enfouies en nous. Il est parfois plus simple d’être accompagné par un thérapeute pour cheminer vers le pardon. Une fois pardonné, on se sent plus léger et l’on peut avancer sereinement ; on a grandi.
Je vous partage cette chanson sur le pardon, la chanter aide au processus (ci-dessous, les paroles en français)
https://open.spotify.com/track/6AsoeP87JuRFteEYbAehOL?si=sUg9cj1wRiK6172UDhMi-A
Ho’oponopono
Je savais que ça finirait comme ça
Deux cœurs brisés un jour de pluie
Il n'y a plus grand chose à dire
Nous savons tous les deux qu'il est temps pour nous
De suivre notre propre chemin
De s'abandonner à ce moment
Il n'y a personne à blâmer
Il n'y a pas de bien ou de mal ici
Seulement des leçons d'amour et de douleur
Nous avons fait ce que nous devions faire
J'étais moi et tu étais toi
Enfin prêt à
Voir tout cela à travers
Je suis désolée
Je te pardonne
Je te remercie
Je t'aime
(X2)
Aime celui qui juge
Aime celui qui ment
Car c'est lui qui a mal
Au plus profond de soi
La vérité se trouve dans les moments
Quand nous revenons à nous-mêmes
Lorsque nous surfons sur les vagues de l'émotion
Au lieu d'être pris dans la houle
Je suis désolé
Je te pardonne
Je te remercie
Je t'aime
(X2)
Je sais que tu ne voulais pas me blesser
Je sais que tu souffres
Pour les fois où j'ai souffert
J'ai blessé les autres
Je voulais qu'ils ressentent la même chose
Quand j'entre dans le chagrin d'amour
Je plonge aussi profond que possible
Et je finis au fond
Face à face avec ma propre âme
Elle dit : "J'étais là depuis le début".
Et elle sourit à ma surprise
Car tout ce que j'avais à faire
C'était de revenir à l'intérieur
Alors merci pour cette rupture
Et merci pour cette douleur
Car sans toi dans ma vie
Je ne me retrouverais peut-être pas
Je suis désolée
Je te pardonne
Je te remercie
Je t'aime
(X2)
L'amour, il ne disparaît pas
Il vit juste en dessous de la peur et de la douleur
Alors je remplis mon cœur
De mon propre amour
Et je l'irradie
En bas et en haut
Je vous l'envoie
En abondance et en richesse
Car je sais que pour t'aimer
Je dois d'abord m'aimer moi-même
Je suis désolé
Je te pardonne
Je te remercie
Je t'aime
(X4)
C'est le printemps!
Après une période d'hibernation hivernale, quel bonheur d'assister au réveil de la nature!
Je vous invite à prendre le temps d'observer la nature en cette période printanière de renaissance. Le vent et la pluie sont venus nettoyer, balayer ce qui n'avait plus sa place. Le soleil vient faire la lumière sur cette nature en éclosion. Chacun de ces éléments participe à la croissance des végétaux, la sève monte dans les arbres, les bourgeons se transforment en fleurs. C'est le signe pour les animaux de sortir d'hibernation, de trouver un partenaire, de se reproduire. Dans la nature, le printemps est un véritable feu d'artifice de couleurs et de joie.
Qu'en est-il pour nous? Comment vivez-vous le printemps?
Pour moi, le printemps c'est le moment de faire du tri. Chaque pièce est passée au peigne fin pour nettoyer et désencombrer. C'est plaisant de retrouver des souvenirs enfouis au fond d'un tiroir, de feuilleter un album photo oublié. Bien sûr au départ tout le monde rechigne à la tâche et finalement une fois lancé, ça fait tellement de bien de s'alléger d'énergies qui n'avaient plus leur place dans notre espace. Et c'est l'occasion pour les enfants de faire plaisir aux jeunes enfants de notre entourage en leur offrant ce dont ils n'ont plus besoin, ils sont également ravis de se faire un peu d'argent de poche en vendant leurs trésors. Bref on nettoie et on fait rentrer la lumière jusqu'au fond de nos tiroirs! Pour moi, un espace désemcombré c'est un esprit allégé, envie d'essayer?!
Le printemps c'est aussi le moment de se reconnecter à la Terre, pour moi c'est me connecter à Pachamama pour d'autres à Gaïa, Etugen... On peut le faire en prenant soin des plantes et autres végétaux de son environnement, en nettoyant les parcs et forêts de tout signe de pollution, en faisant des offrandes.
Pour bien sentir toutes ces énergies de renaissance, d'évolution, de connexion,je vous propose de nous retrouver le dimanche 2 juin de 8h à 12h à Montfort l'Amaury (78), les inscriptions sont ouvertes!
Saint-Valentin
Comment allez-vous ? Où en êtes-vous dans votre programme des bonnes résolutions ?
Pour ma part, j’aime beaucoup la période entre fin janvier et début février, les journées se rallongent, on entend les oiseaux chanter, les vacances en famille approchent et l’on se régale de crêpes à la Chandeleur et de beignets à Mardi Gras ! 😊
Février c’est aussi le mois des amoureux. Cela dit, la saint Valentin est avant tout, actuellement, une fête commerciale. Il est intéressant d’observer l’évolution de cette fête, en effet, lorsque nous en cherchons l’origine, nous nous retrouvons face à différentes possibilités qui vont du romantisme à la barbarie. Malgré tout, il y a un point commun entre chacune c’est l’amour.
L’amour est un mot qui semble dénué de sens aujourd’hui. D’ailleurs que signifie l’amour pour vous ? Faites-vous une distinction entre amour et Amour ?
Et si la Saint Valentin était l’occasion de se demander ce qu’est aimer ? s’aimer ? aimer l’autre ? et aussi comment j’aime ?
Et si la Saint Valentin était l’occasion de dire à ceux que l’on aime, qu’on les aime. Peut être en ayant une attention particulière pour eux, en leur écrivant un texte qui exprime nos sentiments à leur égard, en leur fabricant un petit quelque chose qui sera le témoignage de notre affection. Pas besoin de dépenser des sommes considérables pour montrer à l’autre qu’on l’aime. Simplement écouter son cœur et le laisser s’exprimer. 💗
Nous n’aimons pas nos enfants comme nous aimons notre conjoint ni comme nous aimons nos amis. En fonction de la place que nous occupons, nous n’avons pas les mêmes attentes ni les mêmes besoins. Et pourtant nous aimons. L’amour sans lendemain, est-ce de l’amour ou simplement un désir pulsionnel ? L’amour sous condition est-ce de l’amour ou l’expression de notre peur de nous retrouver seul ? Existe-t-il un amour juste ?
Si nous parlons d’amour juste, je pense que nous faisons référence à l’Amour, celui que l’on donne sans condition, celui que l’on reçoit sans peur, celui qui nous fait grandir, qui nous met en joie. Cet Amour là est sans limite, sans doute, il fait vibrer chacune de nos cellules, il éclaire notre vie, il adoucit nos paroles et libère notre esprit. Il nous permet d’être et de recevoir l’autre sans jugement, sans attente. Cet Amour là, nous pouvons le vivre avec chaque personne qui nous entoure, que nous rencontrons. Cet Amour là, il se partage, il s’offre. 💝
Cet amour là c’est L’Amour et c’est celui que je vous souhaite de vivre chaque jour.
Bonnes résolutions?
Dans quelques jours l’année 2023 va se terminer. Faisons un bref point sur cette année :
-Qu’avez-vous pensé de votre année ?
-Si vous deviez lui donner un titre quel serait-il ?
-Qu’est-ce qui vous a le plus plu ?
-Qu’auriez-vous aimé avoir en 2023 et que vous n’avez pas eu ? Pourquoi ?
-Qu’auriez-vous aimé faire et que vous n’avez pas fait ? Pourquoi ?
-Qu’est ce que 2023 vous a enseigné ?
Alors, finalement, l’année 2023 a-t-elle été un bon millésime pour vous ?
Riche de ces réponses, vous allez pouvoir vous diriger vers 2024 avec lucidité et créativité ! Comment ? En tirant des leçons de 2023 et en passant à l’action en 2024 !!
Chaque jour de l’an, nous nous promettons tout un tas de bonnes résolutions qui finalement ne passent pas le cap du mois de janvier. D’après vous pourquoi ? Manque de persévérance ? Manque de motivation ? Routine ?
Un peu de tout ça mais ce n’est pas l’essentiel. Nous avons tendance à nous promettre une véritable révolution dans notre vie qui doit être mise en place et acquise en 3 jours. Par exemple : j’arrête de fumer, je fais un régime, je me mets au sport et je cuisine tous les jours. Si tout cela ne fait d’ordinaire pas parti de votre quotidien, ça va être une sacrée mission d’introduire tous ces éléments en même temps.
Ce que je vous propose c’est de donner un titre à l’année 2024 pour lui donner une direction. Ensuite, je vous invite à dresser la liste des choses que vous aimeriez voir évoluer dans votre vie cette année. Classez-les par ordre de priorité pour vous.
Observez les 12 mois de l’année, notez les évènements majeurs de chaque mois. En effet, il n’est peut-être pas judicieux de vous dire que vous allez manger sainement et limiter le gras alors que nous sommes en janvier et que vous allez vous régaler de galettes des rois. Prenez chaque mois et notez-y ce qu’il serait possible pour vous de mettre en place comme bonne résolution. Par exemple, si votre résolution est de manger plus sainement, commencez en janvier en apprenant à écouter votre corps pour savoir s’il est apte à recevoir 2 parts de galette ou seulement 1 : c’est un bon début pour aller vers une alimentation plus saine sans trop de contraintes.
Également, en travaillant sur un aspect vous verrez peut-être des effets indirects sur d’autres aspects. Peut être même que certains n’auront pour vous plus d’intérêt. Au lieu de vous contraindre drastiquement à remettre en question plusieurs pans de votre vie, choisissez-en un puis laissez-vous guider vers les suivants lorsque vous serez prêt. Référez-vous à votre liste initiale pour voir si tout est toujours d’actualité ou si vous pouvez y apporter des mises à jour. Afin de garder votre motivation, vérifiez chaque mois si votre objectif tient la route pour le mois à venir ou s’il a besoin d’adaptation.
Imaginons que votre objectif soit de prendre soin de vous. Vous pouvez découper l’année de manière suivante :
-Janvier : j’écoute mon corps lorsqu’il me dit qu’il a faim ou qu’il est rassasié, qu’il est fatigué ou qu’il a besoin de se dépenser etc
-Février : envie d’arrêter de fumer, de boire, de grignoter : c’est le moment de me lancer ! Ces addictions sont souvent des substituts ou le reflet de certaines de mes blessures ou carences affectives/ émotionnelles. Je n’hésite pas à me faire accompagner par un thérapeute/ psycho-somatothérapeute/ psychologue etc pour maximiser mes chances de réussite.
-Mars : j’entame le ménage de printemps, en triant mes placards, je fais aussi du tri dans ma tête, quelques cliqués corbeille et vidages de la corbeille sont nécessaires pour y voir plus clair.
-Avril : j’entretiens l’espace libéré dans mon esprit en m’octroyant des pauses relaxation ou méditation, je les insère à mon quotidien tout comme chaque jour je prends le temps de manger : c’est la nourriture de l’âme !
-Mai : le retour des beaux jours favorise l’envie de faire une activité physique pour entretenir mon corps et ainsi limiter ma prise de poids (dysfonctionnelle) et les douleurs physiques. Je choisis une activité qui me procure du plaisir et que je pourrai exercer chaque semaine ou chaque jour : pour qu’elle s’inscrive dans mes habitudes !
-Juin : je profite des couchers de soleil tardifs pour aller me promener dans la nature, remplir mes poumons d’oxygène, me relier à la terre, aux éléments, à moi-même.
-Juillet/ Août : qu’est ce qui me ferait plaisir pour mes vacances ? Comment y répondre, j’écoute mon cœur ! Et je me régale de la diversité des fruits et légumes d’été pour laisser de côté les produits industriels et faire du bien à mon organisme.
-Septembre : c’est la rentrée, la reprise des bonnes habitudes. Je reprends mes routines installées ces derniers mois si jamais je les avais laissées de côté pendant les vacances. C’est également le moment de m’inscrire à cette activité que je rêve de faire depuis si longtemps : j’écoute mes envies et j’y réponds !
-Octobre : y’a-t-il un objectif auquel je n’ai pas répondu, je reprends ma liste et je fais le point. Je peux encore passer à l’action !
-Novembre : j’écoute mon corps qui suit le rythme des saisons. Les journées sont plus courtes, j’en profite pour ralentir mon rythme et m’accorder les temps de repos nécessaires : sieste, me coucher tôt, spa, massage, temps calme.
-Décembre : je prends le temps d’organiser le mois et les invitations pour ne pas m’épuiser. J’écoute mon cœur et je dis non sans culpabilité !
Une chose après l’autre, step by step ! A vous de dresser votre programme !
Si vous faites tout en même temps vous allez vous épuiser, vous démoraliser. Lorsque vous rénovez une maison, vous ne faites pas la peinture en même temps que l’aménagement intérieur ?! Non, et c’est la même chose pour vous-même. Choisissez par quel chantier vous souhaitez commencer afin d’avancer dans votre rénovation, votre évolution.
Avez-vous votre liste ? Que choisissez-vous pour janvier ? C’est parti !
Je vous souhaite de vous amuser en 2024 !
RGPD
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